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Le culte des Anciens Dieux désigne l'antique système de croyances cosmologiques et religieuses des anciens peuples grisonnants avant l'arrivée de [[Cernos]] mais aussi celui des néo-païens [[Fjördin (ethnie)|fjördins]] actuels. Ce culte a grandement évolué au fil de ses 3000 ans d'histoire et proviendrait, selon les hypothèses, des premiers hommes.
 
Le culte des Anciens Dieux désigne l'antique système de croyances cosmologiques et religieuses des anciens peuples grisonnants avant l'arrivée de [[Cernos]] mais aussi celui des néo-païens [[Fjördin (ethnie)|fjördins]] actuels. Ce culte a grandement évolué au fil de ses 3000 ans d'histoire et proviendrait, selon les hypothèses, des premiers hommes.
   

Dernière version du 23 avril 2015 à 23:50

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Le culte des Anciens Dieux désigne l'antique système de croyances cosmologiques et religieuses des anciens peuples grisonnants avant l'arrivée de Cernos mais aussi celui des néo-païens fjördins actuels. Ce culte a grandement évolué au fil de ses 3000 ans d'histoire et proviendrait, selon les hypothèses, des premiers hommes.

L'arrivée de Cernos et son culte aurait occulté certains aspects païens, voire chamanistes, de la mythologie fjördinne. Toutefois certaines croyances et légendes anciennes perdurent encore dans les régions isolées du sud.

La mythologie fjördinne abonde en créatures légendes et en divinités mineures (esprits et monstres) qui veillent sur le Fjörd et, avant, sur les Grisonnes. La majorité d'entre elles sont des esprits mesquins et joueurs qui offrent leurs bénédictions à de lourds prix (comme les tristement fameux "Dieux Sanglants")

Croyances religieuses[]

Le culte des Anciens Dieux - et la mythologie fjördinne en générale pour simplifier la chose - croit en un monde désordonné dirigé par la Nature et par des forces naturelles oubliées par les âges (des entités divines sans noms ou aux multiples noms).

Le concept d'une nature chaotique et incontrôlable est quelque chose qui revient fréquemment dans la mythologie fjördinne. Le monde est vu comme un endroit cruel et dur, un baptême par le feu pour pouvoir s'améliorer et être meilleur dans l'outre-vie. Un baptême par le feu qui se mérite et qui demande de se salir les mains par le sang des autres. Une pratique qui est vue comme immorale aux Grisonnes mais qui, au Fjörd, est vue comme la base de la culture fjördinne ; la mort n'est pas nécessaire pour nous mais la mort est nécessaire pour le monde.


La mort et le meurtre[]

La mort est vu comme un simple passage ; l'âme retourne à son état naturel et invisible où elle se retrouvera forcée d’errer avant que celle-ci soit "recyclée", réutilisée pour créer quelque chose d'autre. C'est une forme de réincarnation.

Le meurtre, quant à lui, est vu comme naturel ; notre Histoire est jalonnée par le sang de milliers "d'innocents", une telle chose ne va pas changer. Les fjördins travaillent comme des loups dans une meute ; ils se savent ensemble plus fort et peuvent donc tuer et éviter de mourir plus facilement.

Quant aux dieux et esprits anciens, la majorité d'entre eux ne voient pas la mort ou la vie comme quelque chose d'important. Ces esprits immortels et joueurs n'hésitent pas à demander, en échange de leurs bénédictions, le sacrifice d'une ou plusieurs personnes. Pas car la fin d'une vie est quelque chose d'important à leurs yeux, mais bien car il est amusant de voir où vont les limites de l'Homme, jusqu'où peut-il aller sans perdre totalement son humanité et, donc, sans devenir un simple animal. Réussir à amusé les dieux est un grand honneur et sera certainement gracieusement récompensé.

La mort et les meurtres rituels.[]

Dans la culture fjördinne, il est de bon goût de laisser les cadavres se décomposer sur le sol où ils sont morts l'arme à la main pour que leur cadavre puisse nourrir la terre et rendre les Dieux Sanglants heureux. Pour les malades et les morts de vieillesse il y a trois catégories : les paysans et simples citoyens (wsziarz en fjördin) sont jetés dans des fosses communes. Les héros (półbóg) ont eux le droit d'avoir une tombe, même chose pour les nobles (slavechtny) sauf si celui-ci est mort tué par un roturier ou durant un duel entre gentilshommes. Les traîtres et ennemis doivent mourir la gorge ouverte (Hil-laddiad) pour qu'ils ne puissent pas dire avant de tomber le nom de leur dieu ou de leur seigneur. Le corps doit être posé proche des racines d'un grand arbre pour que celui-ci puisse se nourrir du sang coulant de la gorge fraichement ouverte.