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Les communautés, ethnies et cultures des Grisonnes[]

Yves van Howldro, grisonnant, commandant actuel de l'académie militaire du Solstice

Le West-Grisonnant / Swth-Grisonnant

West-Grisonnant & Swth-Grisonnant sont des termes désignant a posteriori les peuples grisonnants s'étant installés dans le sud et l'ouest des Grisonnes dans les alentours du 26ème siècle avant notre ère. Ce terme ne s'utilise plus que peu de nos jours et ce simplement par le fait qu'elle est l’ethnie dominante des pays grisonnants. Par leur dominance culturelle au sein de leur pays, ceux-ci sont plus souvent appelés Grisonnants, terme désignant de façon générale tous les peuples autochtones des Grisonnes.

Pour plus d'informations sur eux, rendez-vous ici !
Wannes Brughel, indépendantiste boer.

Le Boer

Boer, dit en grisonnant bwre, est un terme récent désignant les peuples grisonnants habitants les côtes boréales du continent et, par la suite, les premiers colons partis en voyage vers Tyr-Newydd. Bien que celui-ci ressemble à son compatriote du sud-ouest, le boer est différent du reste des Grisonnants par sa grande appartenance culturelle ainsi que linguistique par son dialecte, le boerijn, dérivé directement de la langue grisonnante ainsi que des différentes langues naines des côtes boréales de Téthys. Cette appartenance culturelle, souvent cachée à l'époque, a permis aux communautés boers du pays de plus facilement s'unir et de se faire entendre au sein d'un pays qui a, à leurs yeux, profité des minorités culturelles du nord trop longtemps.

Le sentiment souvent anti-fédéral des communautés boers a permis la naissance et la croissance de nouvelles vagues d'idées contemporaines, comme la montée du libéralisme et l'idée d'unions sociales. L'appartenance des boers est aussi la source indirecte de la création de certains mouvements religieux et politiques, comme la création de l'Église de St. Heyerdahl.
"Roetz", Montagnard et trappeur

Le Montagnard

Montagnard, ou Mwntainman, est un terme désignant les peuples grisonnants habitant les pays montagneux et moins habités du continent. Ces Montagnards, en raison de leur habitat inhospitalier et rude, sont souvent fort influencés par la culture du néodruidisme, du trappage, et du voyage au canot qu'ils pratiquent encore de nos jours.

Bien que ceux-ci, par leur nature solitaire, préfère souvent rester à l'écart des villes, les Montagnards sont des gens souvent considérés comme très chaleureux et sociables, n'hésitant pas à aider les voyageurs passant dans les collines et les étrangers voulant acheter des fourrures locales.

La plus grande communauté de montagnard se trouve à Caeth, proche du loch et de ses forêts.
"Simha", marchande itinérante lisienne

Le Lisien

Lisien, ou Ffiniau en grisonnant, est un terme désignant les peuples grisonnants et fjördins habitant les frontières des Grisonnes et du Fjörd. Mêlant la culture fjördinne à la culture grisonnante, les Lisiens sont la plus petite minorité ethnique des Grisonnes, mais aussi la plus marquée et différente. L'influence de la culture fjördinne a permis à ces grisonnants de véritablement sortir du lot ; l'histoire de la culture lisienne est marquée par les guerres et les conflits ancestraux entre les pays grisonnants et les pays fjördins. Des conflits qui, souvent, laissaient derrière eux des terres dévastées et des paysans meurtris par la guerre et la perte de leurs proches. Ces frontaliers ayant toujours vécu dans la peur d'une nouvelle guerre se sont habitués à un style vie aussi bien nomade que sédentaire en vivant dans des roulottes, souvent en bois ou en toile. Cet habitat nomade permet aux communautés lisiennes de pouvoir partir et fuir les conflits de façon organisée et rapide.

La plus grande concentration lisienne se trouve au comté de la Lisière, à la frontière australe des Grisonnes.
Portrait d'un marin worgendworf

Le Vargendörf

Vargendörf, aussi dit Worgendorf en grisonnant ou Kustendorf en kusten, est un terme désignant les peuples nains des Grisonnes habitant principalement les côtes occidentales et orientales du continent. Notables pour leur petite taille ne dépassant que rarement 1m50, les nains worgendorven sont aussi connus pour leur carrure et leur apparence souvent considérée disproportionnée. Les traits de leur visage sont bourrus, crus, leur donnant un air acariâtre qu'ils n'hésitent pas à appuyer par leur caractère souvent très franc. Leur apparence mise à part, les nains worgendorven sont souvent considérés comme étant de très grands travailleurs. Très peu représentés en politique, les worgendorfs préfèrent travailler dans le domaine manuel, particulièrement la sylviculture, la pêche et le commerce maritime, où ils sont très présents. Leur carrure et force naturelle permet aux worgendorven de travailler dans des métiers plus physiques ; les métiers touchant le domaine maritime, par exemple, où ils sont aussi très présents, aussi bien en tant que docker que marchand dans la flotte marchande royale.

Il existe un grand sens d'appartenance au sein de la communauté worgendorf. Il est dit que les nains, bien que s'entendant très bien avec leurs cousins grisonnants, préfèrent rester entre eux. Une véritable grande hiérarchie secrète existe au sein de la communauté worgendorf, une hiérarchie comparable à celle d'une très grande famille, avec au dessus trois patriarche majeurs, nommée l'Il-Triawd. Ces patriarches sont inconnus des autres communautés grisonnantes.

Les communautés, ethnies et cultures du Fiördowy[]

Portrait d'un riche marchand mezevitchi

Le Fjördin Mezevitchyi

Mezevitchyi, ou Mezevitchi en commun, est un terme désignant les peuples fjördins habitant les fjords de l’extrême orient Fiördowy. Leur nom vient de l'explorateur et patriarche fjördin légendaire Yacubi Il-Mezevitchyi. Les communautés mezevitchyis, comparées à leurs autres voisins et cousins fjördins, sont caractérisés par par des coutumes, un héritage culturel et des traditions religieuses particulières. Bien que, comme leurs cousins fjördins occidentaux, ceux-ci suivent les traditions des Anciens Dieux, ils sont néanmoins très ouverts aux cultes extérieurs et n'ont pas hésité au fil de leur histoire de changer les particularités liturgiques de leur culte des esprits ancestraux. Ils, par exemple, refusent de suivre la tradition de l'Hil-Laddiad, le sacrifice rituel, car ceux-ci préfèrent voir l'Hil-Laddiad sous une forme plus spirituelle que le simple respect de la tradition fjördinne. Cette idée de pratique symbolique et de réformation du Culte des anciens dieux est un thème récurrent au sein de la culture mezevitchie, souvent considérée comme étant plus ouverte que le reste des communautés fjördinnes par leur tradition mercantile.

Les fjördins mezevitchis sont néanmoins très rares aux Grisonnes, ceux-ci vivant encore sur leurs terres natales, dans les fjords orientaux du Fiördowy, dans la pointe sud-ouest du continent.
Portrait d'un jeune sabreur-carabin shashkayi

Le Fjördin Shashkayi

Shashkayi, aussi dit Shashkavitchyi en fjördin ou Shashkaïen en commun, est un terme désignant les peuples fjördins habitant les plaines et forêts centrales du fiördowy. Leur nom vient du héro et patriarche fjördin légendaire Alexei Chernozubovitch Shushkawi. La communauté shashkayi est souvent considérée comme étant la plus grande communauté fjördinne connue, représentant plus de 40% des fjördins du continent et du Fiördowy. Les shashkayis semblent aussi être la plus vieille communauté fjördinne, bien que ce sujet soit encore disputé. La culture shashkayie est marquée par le maniement du sabre et l'équitation, deux pratiques présentent au centre même de la vie temporelle et spirituelle de tous les shashkayis du continent. Ces deux pratiques prennent même une connotation spirituelle pour de nombreux fjördins qui voient en ces deux arts un moyen de se purifier l'esprit de leurs idées malsaines par la méditation et le calme intérieur que peut apporter le combat amical au sabre, monté ou pas. Néanmoins, la civilisation fjördinne - très influencée par sa majorité shashkaïenne - a été plus d'une fois meurtrie par son zèle du respect des traditions d'antan. Il est en effet malheureusement très dur de créer une civilisation sur un peuple voyant le meurtre comme un art rituel et la mort comme une chose très naturelle. La culture shashkayie est dominée par cette idée empirique que le fort a toujours raison et que, outre le système de caste naturel présent au sein de la société fjördinne, il n'y a aucun mal à s'élever dans le monde par le fer et le sang.

Bien que la majorité des fjördins shashkavitchyis vivent dorénavant une vie sédentarisée sur leurs terres natales du centre du Fiördowy, il existe encore de nombreuses communautés qui préfèrent suivre les enseignements d'antan de leurs ancêtres en prônant une vie nomadique en vivant, pour certains, de la chasse et, pour d'autres, du brigandage. Ces nomades se déplacent pour la majorité en roulottes.

Les communautés, ethnies et cultures étrangères[]

Portrait d'un voyageur enochi

L'Enochi

Enochi est un terme désignant a posteriori les peuples étrangers vivant dans les îles orientales d'Enoch. Nous connaissons très peu sur la culture enochi, et bien qu'aucune description officielle existe des peuples de la mer orientale, il est très facile de les reconnaître. Portant souvent les mêmes habits que les autochtones qu'ils rencontrent, une seule chose vient les faire sortir du lot ; le turban rituel qu'ils portant, un turban aux décorations pouvant varier dépendant, nous imaginons, du niveau social de l'homme. Les femmes ne semblent pas porter ces lourds turbans, néanmoins, il est à noter qu'aucune femme enochie n'a été vue sur le continent grisonnant. Les hommes, quant à eux, restent très discrets sur leur appartenance ethnique, ne laissant que d'infimes marques de leur ancienne culture, comme leur turban.

Malgré leur humilité et capacité incroyable à s'adapter à leur environnement, l'enochi, par sa très maigre communauté peu soudée, n'est pas fort populaire par les peuples grisonnants, qui voient en l'étranger un lâche déserteur voulant profiter du des États Libres.
Portrait d'un asanais

L'Asanais

Asanai est un terme désignant a posteriori les peuples étrangers vivant dans les îles orientales et australes d'Asan. La découverte de l'homme asanais n'est que très récente aux Grisonnes, bien que celui-ci su se faire remarquer très facilement. Ayant la même peau blanche que l'homme grisonnant, celui-ci porte néanmoins sur le haut de sa tête des cheveux foncés, partant vers le bleuâtre, ainsi que des petits yeux noirs bridés. Le comportement de l'asanais est comparable, quant à lui, à son apparence, fier et robuste. Véritable prédateur dormant, celui-ci peut paraître froid et distant pour le non-habitué, peut-être même légèrement caractériel quand mal abordé. Bien que leur culture soit considérée comme riche, nous ne connaissons que peu sur celle-ci. Une chose que nous savons néanmoins est un principe dont tous les asanais ne cessent de parler, celui de Nin, semblant être à la fois la religion locale ainsi qu'un mode de vie à respecter par tous les moyens, rendant l'asanais moyen très pieu.

Il est dur de parler de l'image de l'asanais au sein de la société nordiste et occidentale, ce qui est néanmoins sûr est que certaines factions grisonnantes, comme les Nativistes, voient l'asanais comme une menace.
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