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GIG – Fiannóglaigh/Fianóglach

"Glaine ár gcroí, Neart ár ngéag, Agus beart de réir ár mbriathar"

« The cleanliness of our hearts, The strength of our limbs, And our commitment to our promise »

= Ligne temporelle =

En l’an 54[]

Les hostilités à San Adamhan prennent fin grâce à l’intervention de la Rose Bleu et du Général Cassidy. Le regard du Général se tournant à présent sur le continent grisonnant, le GIC se prépare à une mutation générale afin d’accompagner la Rose Bleu jusqu’au théâtre de guerre grisonnant.

Après avoir laissé le soin aux unités compétentes d’assurer la relève du service, Andy Kelevra embarque sur les navires de la Rose et renomme la nouvelle unité en Fiannóglaigh. Le groupe ne trouve cependant pas de réel engouement auprès de certains officiers supérieurs, qui craignent que les Fianóglach ne servent que les intérêts personnels du Général, au détriment de leur cause globale.Egalement, les Rangers ont prouvé leur utilité en milieu urbain et en tant qu’unité anti-terroriste, pas en tant qu’unité déployée en temps de guerre.En écartant rapidement les doutes majeurs, Cassidy réforme le groupe afin d’en faire des éclaireurs, loin devant les lignes alliées.

CQC

Dans leur rôle d’infiltration au-delà des lignes de front, les Rangers effectuent des missions de reconnaissance et de renseignements. Avec une unité directement sur place, les frappes d’artillerie gagnent en précision et en léthalité. Lors d’accrochages avec l’ennemi, les Rangers profitent de leur nombre réduit afin de semer la confusion dans les rangs ennemis et disparaître dans l’environnement.

Après l’assassinat de Gildass Lawliett par Thomas Cleese, le GIG se met en chasse du régicide. Après plusieurs semaines de traque intensive et la rumeur de sa fuite du continent, les Rangers sont rappelés en première ligne afin de reprendre leur fonction d’éclaireur.

TrenchUnit


Malgré la reddition de la Rose d’Or, le général Cassidy décide d’assiéger les Rosiers. Le GIG est mobilisé en tant qu’unité de choc pour percer les premières lignes de résistance. Equipés des fusils à pompe dernier cri, le groupe exerce un véritable rôle d’exterminateur dans les tranchées et les bâtiments, comptant sur leur nombre restreint et leur supériorité tactique. Comparé à tort aux unités de Faucheur, le groupe développe pour l’ennemi un caractère psychologique terrifiant, gagnant la réputation de « Nettoyeur ».

En s’approchant du bastion, le groupe rencontre une résistance de plus en plus forte, ce qui rend les opérations quasiment impossible pour un si petit nombre. Souhaitant garder cette carte psychologique en main, Cassidy retire les Rangers du front et les met sur la piste d’Ernest Blake. Durant l’assaut final, le dirigeant ennemi et sa garde personnelle sont repérés à la gare des Rosiers par des éclaireurs avancés du régiment, dans un train en partance pour Ambrepin. Le GIG décide en ultime recours de piéger le pont qui relie les Rosiers à Ambrepin et de le faire sauter au passage de la machine. L’opération réussit, mais fait dérailler le train. Les wagons se retrouvent éparpillés et Ernest Blake est retrouvé dans les débris d’un wagon n’ayant pas chuté dans le vide. Il est exfiltré et ses hommes laissés à leur propre mort, puis  il est remis à la Main Rouge conformément aux demandes du Général.

BlakeTrain

Cela marque la fin des opérations officielles du groupe, qui continue de démanteler les dernières poches de résistance à travers le pays, ne laissant que peu de témoins sur place pour attester du caractère impitoyables des Fianóglach en opération. Les victimes collatérales sont souvent masquées comme étant des agents de cellules partisantes à la Rose d’Or ce qui permet aux Rangers de garder leur réputation quasi-parfaite d’unité pour la paix.

Le nombre de cellules dormantes étant maintenant réduit à un nombre minimum, le GIG laisse le soin aux autorités compétentes de terminer le démantèlement des possibles agitateurs et lance une nouvelle campagne de recrutement au sein de la Rose Bleue. La réputation acquise au sein de la guerre attire un grand nombre de soldats. Mais comme le dit bien le dicton « beaucoup d’appelés pour très peu d’élus ». La sélection est volontairement draconienne pour ne garder que la crème des unités d’infanterie. La rumeur voudrait que certains Fjördins aient été accepté au sein des unités tactiques, notamment plusieurs tireurs d’élites.

Un budget annuel est demandé pour permettre aux Rangers de devenir une unité fixe et de s’implanter directement dans leurs nouveaux locaux à Téthys. Même si certains voient dans les Rangers le nouveau Corvus, la réputation sans failles de leur dirigeant, Andy Kelevra, apaise la plupart des esprits. L’homme a jusque-là été la face visible de l’icerberg aux côtés de Cassidy, rendant la liberté d’action du groupe quasi illimitée. Le budget est accepté, même s’il est légèrement revu à la baisse à cause de l’économie tremblante du pays suite à cette guerre qui n’a que trop duré.

Le GIG remplace bel et bien le Corvus du point de vue du publique, assurant cependant suivre uniquement les demandes de l’état-régent. Anti-terrorisme, espionnage, renseignement ; chaque nouvelle cellule qui s’ouvre lance de grandes campagnes de recrutement et permet au service de connaître une popularité nationale. Les Rangers restent la cellule la plus importante, assistant au mieux les autorités.

L’ouverture de nouveaux quartiers générals dans d’autres villes est discutée, mais retardée par la vision encore pessimiste du service chez les hautes autorités.

DeployedRanger

En marge de l’établissement des Rangers, une unité dont seuls le Général et Kelevra ont connaissance voit le jour. Le recrutement se fait uniquement sur appel des meilleurs membres des Rangers et le taux d’admission chute à moins de 5%. Le groupe agit en tant qu’unité secrète à travers le pays grisonnant et opère également dans les pays limitrophes. Remplaçant véritablement l’ancien Corvus, l’unité connaît dans un premier temps des difficultés à détourner une partie du budget des Rangers pour s’approvisionner. Andy lance donc une nouvelle demande d’augmentation du budget, prétextant que l’expansion du service dans les domaines du renseignement permettra d’avoir un œil véritable et de prévenir toute tentative d’insurrection. Tirant sur la corde de la peur de revivre l’enfer, la demande passe sans trop de soucis et le budget est quasiment doublé en l’espace des quelques mois. Maintenant en possession de véritables moyens financiers, Andy détourne des pourcentages du budget alloué à chaque unité pour armer et préparer son unité secrète.

En l’an 55[]

Les Rangers rejoignent le projet d’armée continental du général Cassidy, devenant la pointe de la lance en matière de troupes d’infantries.

L’attention de la cellule secrète se tourne vers Vladislaw "Romanyi" Shashkavitch. Malgré les mise en garde d’Ivan Zypher, le conseil reste tourné vers les Grisonnes. Andy, connaissant Zypher et sa réputation depuis de nombreuses années semble être le seul à lui porter une oreille attentive. Il mobilise donc l’unité complète dans le Fjörd afin de recueillir des informations vitales.

Le renseignement est la seule cellule des Rangers mise dans la confidence, servant d’analystes pour toutes les informations reçues depuis le Fjörd. Andy étant directement sur le terrain à la tête de ses hommes, délègue les tâches administratives des Rangers à d’anciens membres du GIC dans lesquels il place sa confiance. Ayant cependant retenu les erreurs de l’époque du Corvus, il fait placer les têtes des groupes et de l’état sous surveillance, prétextant parfois la nécessité pour ces personnes d’avoir une garde rapprochée pour pâlier aux dernières menaces latentes de la révolution.

Kelevra place ensuite son service d’espionnage sur la trace d’Alwine, suite aux rumeurs qui lui sont parvenues. Officiellement, il craint de la voir revenir dans les Grisonnes, officieusement il souhaite l’intégrer à son groupe afin de profiter de son expérience légendaire en matière de guerre psychologique.

Equipement[]

À budget adéquat, équipement mérité. La révolution industrielle grisonnante a permis la production massive d’armes de guerre. Le marché a fleuri à tel point que certains talentueux ingénieurs se sont tourné vers la fabrication et l’amélioration des armes destinées à équiper les révolutionnaires des deux côtés. Ainsi, les Rangers profitent de cet essor pour se munir des armes et équipements derniers cris.

GasMask

== Guerre chimique et masque à gaz == Les avancées scientifiques dans le domaine de la chimie durant la période du Dominion Corvus ont fait apparaître les premières armes chimiques tels que le gaz sarin, soman ou tabun. Les Rangers ont décidé de se munir de grenade à main sous pression contenant du gaz tabun. Le gaz n’étant pas mortel au-delà d’une vingtaine de minutes d’exposition, il permet l’interpellation de criminels retranchés. La méthode ayant fait ses preuves sur les colonies, elle est rapatriée sur le continent afin de favoriser le nettoyage de tranchées ennemies ou ses postes avancés.

La chimie a vu apparaître les premiers essais sur le caoutchouc. Les bottes jusque-là en cuir sont remplacées par du caoutchouc, comme les anoraks. A présent étanches, l’humidité devient un moindre problème pour l’entreposage des armes et des munitions. En parallèle, les masques à gaz deviennent plus performants et équipent maintenant toutes les forces d’intervention.

Uniformes[]

RangerUniform

Les uniformes ont évolué dans leurs matériaux de fabrication et motifs. Les couleurs unies et trop colorées ont laissé place à des camouflages adaptés au milieu dans lequel l’opérateur évolue. Les Grisonnes comportant de nombreux types de terrains, l’uniforme est décliné en trois pâlette de couleur : Forestier, Montagne, Désertique. En revanche, l’armée conventionnelle montre encore quelques réticences ; trop attachés aux vieilles batailles où rouge et bleu se font face, où identifier l’ennemi est fait d’un simple coup d’œil et l’uniforme est un signe distinctif de l’appartenance à un camp. La crainte du tir allié est contre-argument avancé par les généraux dépassés par les événements, craignant d’être mis sur le côté par les prises de position de Andy Kelevra et les nombreuses idées qu’il amène.

Les Rangers finissent par adopter leur uniforme type camouflage et en profitent pour les moderniser. Poches à munitions, chargeurs, grenades et couteaux font leur apparition, en plus de sac contenant tout le matériel nécessaire à la survie accompagnent chaque ranger.

Uniforme de parade[]

RangerBeret

Avec l’introduction des Rangers et de leur nouvelle conception des forces armées, vient également une nouvelle conception de la représentation du soldat au grand public. Les « tenues de sorties » sont imposées à tout homme qui doit se déplacer alors qu’il est encore en service. Ils font également office d’uniformes de parade.

Les uniformes de parade sont les vêtements « civils » des Rangers. L’uniforme possède une coupe esthétique et agréable à l’œil et porte les médailles de mérite de l’opérateur ou de son régiment. La particularité des Rangers est leur béret vert avec une floche de la même couleur.

Protection[]

Les casques jusque-là en cuir laissent place à des protections métalliques, plus efficace contre les shrapnels et débris

FacialMask

qui retombent après avoir été soulevé par l’artillerie. Des prototypes de protection pour le visage apparaissent mais sont rapidement écartés à cause de l’encombrement visuel qu’elles procurent. Des masques de métal et de mailles s’accrochent directement au casque et sont censés éviter les blessures directes.

Lors des opérations sur les colonies, le GIC avait développé des armures de combat en plates afin de pallier aux petits calibres et explosions propulsant des morceaux de métal. Les armures réduisent les mouvements et augmentent le poids total mais sont parfaites pour les lieux exiguës comme des pièces ou des couloirs. Les armures sont exportées aux Grisonnes mais se révèlent inefficaces hors des tranchées.

BodyArmor

Des premiers boucliers « balistiques » avaient été testés dans les combats urbains. Les boucliers pesaient une trentaine de kilos et n’offraient que peu de visibilités mais limitaient les risques de blessures lors d’une entrée dans un bâtiment. D’abord rectangulaire et équipés d’une poignée, certains voient apparaître un arc de cercle dans le flanc droit afin de permettre une arme de poing et une visière pour gagner en visibilité. D’autres plus grands se tiennent à deux mains et protègent le porteur jusqu’à la cuisse. L’apparition des boucliers changent considérablement les tactiques de prise de bâtiment. La formation dispensée au GIC est donc unique et innovante, profitant d’instructeur expérimentés et innovants dans les domaines du combat urbain. Dans une configuration normale, deux boucliers se trouvent en tête de colonnes, armés d’arme de poing semi-automatique. Ils sont généralement suivis de deux opérateurs armés d’armes courtes et maniables (Ex : Fusil à pompe), du chef d’équipe, puis d’un expert en explosif et un médecin de combat. 

ShieldArmor

Armement[]

Les Rangers profitent d’armes de dernière génération. C’est-à-dire des versions des fusils déjà existants mais améliorées. Les Grisonnants ayant une fâcheuse tendance à penser que l’innovation vient de la réinvention de la roue, les modèles et leur fonctionnement se ressemblent tous plus ou moins. La seule invention majeure en matière d’armement est l’amélioration des fusils à verrous en fusils semi-automatiques et des revolvers en pistolet.

Les fusils à pompe sont utilisés lors des nettoyages de bâtiments et de tranchées. Les munitions de calibre 12 déchirent le bois et les corps, laissant des séquelles inimaginables même pour des armes de guerre.

Lors des missions dans le Fjörd, les Rangers tombent face à des groupes de mercenaires armés d’arme automatique dévastatrices. Ils ramènent ces prototypes aux Grisonnes et demandent à ce qu’ils soient étudiés puis reproduits sous le signe du secret-défense.

·         GP55 (Gwn Peiriant 55) (MP18)

·         BWRW C56  (Mauser C96)

Formation[]

Comme pour le GIC, afin d’atteindre le stade de la formation, le postulant doit passer des tests multiples et variés. Après cette phase d’entrée, trois mois de tests mettent la volonté des aspirants à rude épreuve. A la fin de cette période d’essai, les meilleurs sont retenus par les Sergent-Instructeur attitrés et rentrent dans la troisième phase de formation. Durant 9 mois, ils sont formés aux tactiques et méthodes des Rangers afin d’intégrer leurs groupes respectifs au terme de cette formation. Une fois Ranger, l’opérateur choisit sa spécialisation et son orientation. La spécialisation définit son rôle au sein d’un groupe et l’orientation définit dans quelle unité il souhaitera l’exercer.

Les tests, méthodes d’entraînement et tactiques sont gardées secrètes afin de ne pas péjorer des aspirants par rapport à d’autres.

Déployement[]

Là ça va partir grave en couilles.

Le problème de l’infanterie actuelle est son manque de mobilité, de rapidité de déploiement et sa capacité à surprendre l’ennemi. L’utilisation des chevaux étant très contraignantes d’un point de vue discrétion, les Rangers préfèrent se déplacer à pied pour infiltrer les lignes ennemies.

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Les Grisonnes tournent lentement leur tête vers le ciel. Le développement de l’aéronautique amène le perfectionnement des planeurs, des parachutes, des « ailes de corps », des routes aériennes, des vols commerciaux et de loisirs. Une véritable industrie se forme et les montagnes deviennent de véritables aéroports à plannurs. Les pilotes possèdent des cartes des vents qui définissent les routes à emprunte et les industries construisent d’énormes tours qui servent de phare aérien et de « rehausseur ». La chaleur dégagée par des centaines de machines convergent dans les grandes tours et servent de relais pour les planeurs.

Les planeurs sont démontés, acheminés vers les aéroports à la force des chevaux et propulsés dans le vide à l’aide de système hydraulique sous pressions. En les perfectionnant, les planeurs peuvent transporter de plus en plus de matériel, allant jusqu’à des obusiers pour les plus gros modèles.

Andy Kelevra s’adressera devant le conseil et proposera les premiers « Paratrooper ». Les parachutages depuis les planneurs répondant aux demandes de portée, vitesse et discrétion, la mention est adoptée et les Rangers engagent des experts aéronautiques.

GliderLoad

En se développant, l’aéronautique voit apparaître la reconnaissance aérienne, qui permet à l’artillerie d’encore une fois améliorer la précision des frappes. Puis vint l’idée folle de directement bombarder l’ennemi depuis le ciel. Mais là encore une fois, pourquoi essayer d’améliorer ce qui fonctionne, donc pas de moteur.

Rangers[]

Les Rangers ou Fiannoglaigh/Fiannoglach sont les forces spéciales de l’armée, la pointe de l’épée. Ils agissent sur tous les fronts et en tout temps. Ils servent également à la sûreté nationale, contrant le grand-banditisme et le terrorisme.

Avec le temps, chaque région demande à ce qu’une base des Rangers apparaisse à proximité. Andy Kelevra accepte bien évidemment les demandes, profitant de l’essor de son unité au niveau national. Chaque région alloue un budget en fonction du pourcentage de ses recettes annuelles, devant équiper eux-mêmes leur unité.

Ainsi, nous retrouvons des Rangers dans chaque région des Grisonnes possédant une base, certains se spécialisent dans des domaines liés à l’environnement dans lequel ils évoluent mais gardent leur fonction de groupe d’intervention. Ils font parties à la fois de l’armée et de la garde nationale.

Les Rangers sont divisés en escouades comportant 8 membres dont 1 officier et 7 spécialistes avec un rôle particulier.

Les meilleurs membres de chaque région montent au niveau national, et reçoivent une formation avancée. Les meilleurs opérateurs nationaux finissent par rejoindre l’unité spéciale qui agit hors du territoire grisonnant.

Ainsi, les groupes d’intervention régionaux sont financés par les régions elles-mêmes, mais sont sous la juridiction du GIG. Les Rangers à l’échelle nationale sont financés par l’état et il en va de même pour les Rangers des unités secrètes.

Les groupes ainsi administrés par une seule entité à l’échelle nationale partagent expérience et innovations entre elles, suivent les mêmes protocoles et fournissent des formations à l’armée régulière. Ainsi, la première lettre de la région s’ajoute à la fin de l’acronyme GIG. GIGCaeth, GIGAmbrepin ..

En soit, les Rangers sont les troupes que l’on déploie lors des assauts terrestres.

Liste des opérations offensives

·         Sécurisation d’objectifs vitaux

·         Patrouille de reconnaissance

·         Raids

·         Embuscades

·         Sabotages

·         Capture de personnages clés

·         Opérations de diversion

·         Récolte d’informations

Liste des opérations défensives

·         Protection de personnage

·         Contre-insurrection

·         Formation et supervision des troupes de l’armée

Aide aux tâches du pouvoir civil

·         Opérations anti-enlèvement

·         Libération d’otages

·         Opération aéroportée ou navales

·         Opérations de traque

·         Recapture d’objectif tenus par des terroristes

·         Protection de personnages importants

·         Planification pour contrer les menaces terroristes ou subersives

Paratroopers[]

ParaTrooper

Une unité complète basée sur le parachutage. Ils sont équipés léger pour favoriser la vitesse et sont déployés afin de semer le chaos directement derrière les lignes ennemies. Dans de bonnes circonstances, des largages d’équipements tactiques suivent généralement les paratroopers pour les fournir en arme et en munition. De manière générale, les paratroopers se retirent du champ de bataille lorsque l’infantrie progresse jusqu’à la position qui leur a été assignée. Les « Iora » effectuent également des sauts directement depuis les planeurs. Les ailes de corps offrent une meilleure maniabilité de mouvements et une discrétion accrue, survolant les cîmes à des vitesses folles. Seuls les meilleurs parachutistes suivent la formation extrêmement périlleuse et les accidents ne sont pas choses rares.

Grenadier ar Sliabh[]

GrenadierAlSliabh

Une armée qui ne peut se déployer sur tous les terrains, même difficiles est une armée inutile. C’est pour ça que les grenadiers de montagne ont été créés. Spécialisés dans le combat en milieu escarpé, enneigé et arctique, ces hommes sont capables de se déployer en un temps record grâce à leur moyen de déplacement unique en leur genre, le ski. Véritable institution grisonnante, cette discipline sportive est la spécialité du groupe de grenadiers, en plus de l’alpinisme. Equipés de leurs uniformes au camouflage montagne, ils peuvent passer plusieurs jours enterrés dans des tranchés creusés à même la neige. Les Chasseurs du Roc sont généralement le profil recherché par l’unité

Commando Mara[]

CommandoMara

Le domaine maritime est une face importante des Grisonnes, ce qui requiert donc des unités capables d’agir en adéquation avec les menaces potentielles. Les commandos marines sont des experts dans le changement de milieu de combat, passant du sol à l’eau et inversement en un rien de temps afin de mener des assauts amphibies. Capable de nager sur de longues distances avec leur équipement de combat, de poser des explosifs sous-marins, de mener des débarquements sur la côte ou de libérer un navire occupé. La mise sous pression d’oxygène amène les premières bonbonnes de respiration artificielles et les « frogmen » avec eux. Les armes sont adaptées afin de rester étanche et des tenues de plongées autonomes sont créées. Le mélange de gaz n’étant pas parfait, il limite la profondeur de plongée et sa durée.

Les Chasseurs de Téthys sont généralement le profil recherché par l’unité.

Scout[]

Scout

Un éclaireur, à la différence du paratrooper, cherche à infiltrer l’arrière des lignes ennemies et y rester en camouflant sa présence. Seuls les meilleurs tireurs de chaque région peuvent espérer intégrer cette fonction hautement sélective. Le rôle de l’éclaireur est bien souvent l’exploration, l’observation, la couverture des troupes d’infanterie et l’élimination de cibles importantes. Ces tireurs d’élite sont devenus des as dans le camouflage et le tir à longue distance. Par binômes ou trinômes, ils se déplacent en toute discrétion derrière les lignes ennemies pour effectuer leurs missions.

Les Chasseurs de Caeth sont généralement le profil recherché par l’unité.

Controverse[]

En quelques années seulement, les Rangers sont installés dans plusieurs régions, deviennent les unités de l’ombre et révolutionnent la guerre et la manière de l’aborder. Coup dur pour beaucoup de généraux qui voient d’un très mauvais œil qu’un étranger comme Andy, même appuyé par Cassidy, leur apprenne les nouveaux rudiments de la guerre.

Cependant, les Rangers restent intouchables, soutenus par un pays entier qui adule ces hommes prêts à mourir pour la liberté et la paix selon la conception grisonnante

Dans une tentative de discréditer le service, la presse à scandale est contactée par des anonymes pour dénoncer des comportements brutaux et des victimes collatérales. Des documents supposés classifiés parviennent à des journalistes différents par courrier et certains s’en emparent des pour faire les gros titre. Une mission durant laquelle le GIG fit dérailler un train ressort

Le GIG demande aux services de renseignements de se mettre sur la piste de la taupe, qui doit être un haut-gradé au vu de l’importance des révélations. La liste de personnes ayant accès à de tels documents étant réduite, les services assurent que quelques semaines devraient suffire.

Pendant ce temps et afin d’échapper au pire, l’opérateur en chef, Andy Kelevra décide de révéler son propre carnet de mission, pari risqué qui devrait démontrer l’impasse dans laquelle se trouvait ce groupe, à peine arrivé et sous-équipé.

Durant plus de 1 heure et 40 minutes, devant le conseil, il explique le déroulement de l’opération qui a mené à l’arrestation de Ernest Blake et mis un terme à la révolution. Les journalistes sont conviés à cette assemblée et non-censurés. Un des plus gros journa listes du pays, pro-Rose Bleu, et appartenant au journal le plus lu des Grisonnes est également présent. Il écrit un article élogieux sur les premiers Rangers à avoir mis le pied sur les Grisonnes et met en avant dans son texte le profond dilemme cornélien auquel furent confrontés les officiers. Il en ressort que si Ernest Blake n’avait pas été mis aux arrêts cette nuit-là, les violences auraient continuées à travers le pays. L’opération de communication est un succès pour Cassidy et Kelevra, qui reçoivent une nouvelle prime sur leur budget annuel. La prime de cette année-là est reversée aux Rosiers et aux familles des victimes collatérales du terrible « accident », afin de faire remonter la côte dans cette région. La même année, un centre de Fiannóglach apparaît à proximité.

Dans la réalité, Ernest Blake serait simplement parti se réfugier au Fjörd et n’aurait plus jamais interféré dans les affaires grisonnantes. Le GIG le savait pertinemment, mais ce premier coup d’éclat a posé les bases d’une solide réputation qui fera le tour des forces armées. Des hommes prêts à tout pour libérer le peuple et lui faire justice.

Le général Wannes Brueghel, qui avait ouvertement définit les Rangers comme des « chiens à la botte de l’état et de Cassidy », est retrouvé. quelques jours après la conférence, mort étouffé à sa table, un os de poulet en travers de la gorge. Sa femme et ses filles avaient été conviées ce soir-là à l’opéra. Le Général Cassidy exprimera publiquement sa profonde peine quant à la perte d’un collaborateur si cher à ses yeux.

Après ces événements, les dernières protestations cessent peu à peu et les Rangers trouvent enfin une place fixe au sein de l’armée, des régions et de forces de sécurité intérieure.

Drill Sergent[]

La fin de la révolution et la formation d’une armée continentale fît prendre à Andy conscience de l’état déplorable des troupes et l’organisation encore archaïque des « guerilleros ». Comme il ne pouvait se permettre de fournir une formation de Rangers, car trop coûteuse et demandante en ressources, il soumit à Cassidy la possibilité de déployer quelques Rangers de ses propres bataillons afin de battre le fer tant qu’il était encore chaud. Cassidy, conscient de l’état actuel de cette auto-proclamée armée, accepta sans grand espoir de changement miracle. Ainsi, les Rangers qui se portèrent volontaires à cette tâche furent renommer « Drill Sergent ».

Un Drill Sergent est un sous-officier qui doit former les recrues durant les douzes premières semaines d’instruction de base. Leur rôle est d’inculquer aux nouvelles recrues les valeurs de l’armée, instaurer la discipline, le respect du grade et faire des recrues des soldats dans tous les aspects. Surnommés « Hell Hounds » par ceux qui passent entre leurs crocs, ces hommes qui se distinguent par leur chapeau à la coupe unique, leur voix qui porte à des kilomètres et leur acharnement sur les recrues font vivre un véritable enfer aux nouveaux venus et anciens révolutionnaires.

Leur méthode est d’une simplicité et d’une efficacité redoutable ; détruire la recrue physiquement et moralement afin de la reconstruire selon les critères de l’armée. Généralement, les fortes finissent par rentrer dans le rang à force de pénaliser leur groupe entier ou quittent simplement la formation. Avec le temps, les Drill Sergent ont créé une sorte de cérémonie à la fois humiliante et magnifique. Celui qui prononce sa volonté d’abandonner doit grimper sur une colline, une croix en bois sur le dos, avec son matricule et sa date d’abandon dessus, et la planter à côté des autres « morts ».

D’eux-mêmes, les Drill Sergent ont développé leurs propres techniques, qui consistent à pousser à bout les recrues, hurlant à chaque pli de travers. La méthode qui a fait ses preuves et son bout de chemin, semble s’être inscrite dans la culture militaire. L’autre méthode est le chant : simple et efficace, la méthode pousse les recrues à chanter afin de garder un rythme constant et souder l’esprit de groupe.

Même si beaucoup se questionnent sur la nécessité de faire vivre un tel enfer, il est en réalité nécessaire de s’assurer que les soldats puissent subir une pression constante avec le ventre vide et des jours de sommeil en retard. Cela détermine sur un terrain d’action qui reste en vie ou au contraire passe l’arme à gauche. En général, après les 3 mois de formation, les soldats comprennent que les sergents sont là pour leur apprendre et leur enseigner, même si c’est de la plus dure des façons. Pour certains, l’armée devient une véritable école de vie, ou un jeune adulte peut trouver son indépendance et apprendre ce que signifie être autonome.

Après les six premiers mois du programme, le nombre de recrues a explosé significativement. Cherchant à comprendre cet engouement soudain pour l’armée, les services compétents firent une grande campagne de récolte d’information. Il en ressorti qu’après la guerre, de nombreux jeunes hommes n’arrivaient plus à trouver de travail et restaient au domicile familial. Les parents désespérés, voyant ces jeunes hommes transformés en douze semaines, décidèrent donc de pousser leurs enfants à suivre cette école de vie.

STORYTIME :

Après douze mois d’observation et de récoltes d’informations, Kelevra finit par présenter son étude de cas devant le conseil militaire. Les chiffres qui en ressortirent prouvèrent que l’efficacité des soldats augmenta drastiquement, en plus de la discipline et du nombre de nouvelles recrues. Avec de tels chiffres de son côté, Kelevra remporta un nouveau succès face à l’état-major.

Malgré les propositions de promotion, Andy déclina les offres une à une, peu attiré par un travail de bureau loin du terrain. Vue comme fausse modestie afin d’attendre un poste à l’état-major, des généraux se mirent à refuser en boucle des demandes concernant les ressources allouées aux Rangers. Andy vit dans ces refus un moyen de laisser à ces généraux de la vieille époque le temps de s’adapter ou de se rendre compte que leur temps était révolu.

Malgré la réticence grandissante chez certains membres de l’état-major, les troupes armées, elles, tiennent le Lieutenant des Fiannoglaigh en haute estime. Depuis son retour sur le continent, celui qui avait déjà la réputation d’un guerrier et soldat hors-pair, a considérablement améliorer l’armée et la condition de vie des soldats.

Les Rangers, eux, ont pris la place des Corvus en tout point de vue, sans véhiculer cette image négative auprès de la population amicale envers l’état. Véritables démons pour les ennemis et anges-gardiens pour le peuple, le groupe a choisi de manière sarcastique un oiseau de proie comme symbole. En fonction des écoles et des régiments, l’aigle est accompagné d’un animal ou d’un signe distinctif. Les Commando Mara possèdent un aigle sur une ancre, par exemple. (USMC MOTHERFUCKERS).

L’unité spéciale n’a quant à elle aucune bannière.

Services de renseignement[]

SRG[]

ARC[]

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